conference métropole Aix-Marseille-Provence

CONFERENCE SUR LA METROPOLE

Métropole Aix-Marseille-Provence

conference métropole Aix-Marseille-Provence

L’Ecole d’Art d’Aix accueille aujourd’hui à 18h30 Jacques BOULESTEIX pour débattre avec le public sur la Métropole nouvellement installée. Son histoire, ses péripéties successives et ses perspectives d’avenir seront à l’ordre du jour de cette importante conférence ainsi que tous les contours des nouvelles pratiques sociales liées à ce processus du territoire métropolitain face à ce changement de gouvernance.

Jacques BOULESTEIX* qui a été un acteur du développement scientifique et de l’innovation et ancien Fondateur du pôle de compétitivité OPTITEC tentera d’aborder avec sa plus grande connaissance ce sujet pour décrypter au mieux les grandes visions économiques, sociales et culturelles que les habitants de ce territoire attendent.

Jacques Boulesteix

 

Jacques BOULESTEIX: est Président de la Société Paca Investissements.

RDV Ecole d’Art d’Aix, Rue Emile TAVAN à 18h30.

Entrée libre.

Jacky NAIDJA via Janapresse

FRANCE ALGERIE: FORUM ECONOMIQUE DE LA CACI A LA VILLA MEDITERRANEE

FRANCE ALGERIE: FORUM ECONOMIQUE DE LA CACI

A LA VILLA MEDITERRANEE.

FRANCE ALGERIE: FORUM ECONOMIQUE DE LA CACI A LA VILLA MEDITERRANEE

Les intervenants à l’issue du Forum auquel s’est joint Michel Vauzelle. (Photo Janapresse)

La Chambre Algérienne de Commerce et d’Industrie (CACI France) par son implication forte dans les relations de coopération entre la France et l’Algérie, veut répondre réellement aux besoins d’un partenariat gagnant-gagnant où les entreprises des deux pays sont devenues de véritables acteurs économiques.

C’est ce défi qu’a voulu relever la CACI France en réunissant les opérateurs économiques issus de la communauté algérienne en France, les représentants institutionnels des deux pays ainsi que plusieurs chefs d’entreprises présents à ce forum. La CACI France, tend par cette entremise à sensibiliser au marché algérien les entreprises exportatrices françaises et par là à créer des partenariats fiables d’investissements. Tel est l’objet de cette importante réunion économique et stratégique tenue samedi dernier à la Villa Méditerranée à Marseille. Cette rencontre de haut niveau à l’initiative des autorités consulaires d’Algérie à Marseille en partenariat avec la CACI a permis un débat essentiel sur la coopération économique entre la France et l’Algérie animé par Nazim Sini délégué adjoint de la CACI en présence de Rafik Belhadj Amara délégué général de la CACI du Sud Est, Mehdi Bournissa Responsable CACI et Alexandre Kateb conseiller CACI, Jean Louis Levet Haut responsable de la Coopération économique , Bernard Valéro Ancien Ambassadeur, Directeur général de la Villa Méditerranée ainsi que Moussa Benhamadi, ancien ministre algérien des Tic, Président du Groupe CONDOR Industrie .Un débat riche et public qui a mis en lumière la dynamique de partenariat entre les entreprises françaises et algériennes dans le cadre du 49/51 autour de projets potentiels industriels et technologiques grâce à plusieurs témoignages de chefs d’entreprises qui ont réussi leur implantation en Algérie cités en exemple. Ce débat public a fait la place également à un nombre important de projets à construire en Algérie à l’avenir et qui apparaissent aujourd’hui faciles à mettre en œuvre tant les facteurs propices à la création d’entreprises en Algérie sont réunies et l’administration institutionnelle mobilisée autour de cette confiance mutuelle établie dans ces rapports de coopération entre la France et l’Algérie. Persuadés tout au moins qu’ils ont tout à gagner ensemble et à explorer toutes les voies et les moyens de construire des relations économiques, industrielles et stratégiques durables en partenariat dans plusieurs domaines en faveur du développement productif pour penser l’après pétrole.

Cette expérience appelée à se poursuivre ne peut qu’être bénéfique aux acteurs des deux pays pour mieux se comprendre et réussir des opportunités d’investissement prometteuses dans des relations de respect et d’intérêt mutuel et faire de la Méditerranée un trait d’union entre les deux pays, l’Afrique et l’Europe.

JACKY NAIDJA via Janapresse

 

 

GOOD LUCK ALGERIA

GOOD LUCK ALGERIA

GOOD LUCK ALGERIA* RENCONTRE UN AUTRE SUCCES A ONPC HIER

L’émission de Laurent Ruquier a permis la présentation de Good Luck Algéria le film de Farid Bentoumi en présence de ses 3 principaux acteurs: Sami Bouadjilla, Chiara Mastroiani et Franck Gastambide.

GOOD LUCK ALGERIA GOOD LUCK ALGERIA, On n'est pas couché

Ce film a reçu 2 prix au festival CINEMED de Montpellier lors de sa 37è édition en 2015.

J’ai vu ce film, je l’ai adoré et rencontré Farid Bentoumi son réalisateur et échangé avec lui sur les difficultés venues très souvent des bailleurs de fonds, des diffuseurs et particulièrement des chaines de télévision. Et le réalisateur de préciser: « On a l’impression que le sujet Algérie hérisse et n’intéresse personne et par ailleurs dérange ».

Un sujet de film dont l’histoire est inspirée de faits réels. Farid Bentoumi le réalisateur avait en effet dans le passé un frère qui a participé aux Jeux Olympiques d’hiver sous les couleurs de l’Algérie. Cet athlète de haut niveau n’a pas gardé un bon souvenir de sa participation et des déboires qu’il a eus avec la Fédération Algérienne de Ski. C’est donc à partir de là qu’est né le scénario construit autour du rôle omniprésent de Sami Bouadjila associé à un ancien compagnon d’origine algérienne dans une entreprise de fabrication de skis en difficulté financière et guettée par le dépôt de bilan, le licenciement prévisible des employés et qu’il va falloir sauver à tout prix.

D’où ce défi immense de qualifier Sami aux jeux olympiques pour le pays d’origine de son père l’Algérie. Sami Bouadjila remarquable et talentueux dans ce rôle aux côtés de Chiara Mastroiani son épouse dans le film, a donné à ce film une dimension réelle et merveilleuse tant les gestes et les attitudes tout au long du film restent vrais. Et puis il y a eu ce voyage qui va le mener en Algérie pour divers contacts avec les responsables de la Fédération Algérienne pour toucher la subvention du CIO et particulièrement cette rencontre avec les siens et à travers elle le pays d’origine. Ce qui a fait dire à Sami Bouadjila à ce propos: « Pour nous enfants d’émigrés, quand on connait mal la langue du pays d’origine, on est souvent perdu car certains codes nous échappent et le rapport à la terre évoqué dans ce film reste toutefois particulier ».

JACKY NAIDJA via Janapresse

*GOOD LUCK ALGERIA sera sur les écrans le 31 mars 2016.

 

"Des Hommes, Des Découvertes, Des Civilisations"

8è EDITION DES TABLES RONDES DE L’ARBOIS : « Des Hommes, Des Découvertes, Des Civilisations »

« Des Hommes, Des Découvertes, Des Civilisations »

"Des Hommes, Des Découvertes, Des Civilisations", L arbois

Tel était le thème cher à Daniel Nahon, Professeur émérite de Géosciences de l’Arbois qui a présenté ce colloque à l’occasion de cette 1ère journée des Tables Rondes pour sa 8è édition à l’amphithéâtre Portalis de la Faculté de Droit et Science Politique.

Avec brio et simplicité Jean Marc Perrin, Président du Technopole de l’environnement de l’Arbois- Méditerranée a ouvert ces 2 journées scientifiques et de déclarer: « porter la science dans la Cité Provençale d’Aix » grâce au formidable partenariat élaboré avec Aix -Marseille Université, le CNRS, l’IRD et leurs éminents savants ainsi que de plusieurs institutionnels mettant ainsi le savoir à la portée du grand public.

Yvon Berland Président d’Aix-Marseille Université et Dominique Augey représentant le Conseil Régional, autre partenaire institutionnel ont tour à tour mis en exergue la qualité des thématiques de ce colloque à l’Homme et à l’intelligence des intervenants avant que le Philippe Kourilsky Professeur au Collège de France n’ouvre la 1ère conférence pour se pencher tout particulièrement sur la redéfinition de la notion de l’éthique dans la recherche médicale, de la liberté et du droit au moment même où l’intérêt général est en cause et que dans une partie du monde des peuples entiers vivent sans cesse des guerres et des génocides quand d’autres sont encore menacés.

Gilles Kepel autre invité de marque, Professeur à Sciences Po Paris et Spécialiste de l’Islam a traité à son tour de la « Genèse du Djihad Français »* retraçant toute l’histoire et l’itinéraire du Djihad depuis son apparition jusqu’en 1997 en Afghanistan, puis dans les années 1980 en Algérie avec le FIS et le GIA jusqu’en 2005. En passant par le Djihad d’El Quaida de Ben Laden jusqu’à l’apparition de Daesh à nos jours, Gilles Kepel a expliqué cette entrée dans la logique de violence à cause d’un soutien populaire effrité avec précisément la crise de cette organisation et comment la propagande de Daesh est bien dans l’échec malgré tous les attentats perpétrés dans plusieurs pays et les derniers tout récents à Bruxelles visant surtout à effacer cette mauvaise image.

Demain pour la 2è journée du colloque, d’autres thématiques intéressantes seront introduites par plusieurs intervenants avant le discours de clôture.

JACKY NAIDJA via JANA PRESSE

*Terreur dans l’Hexagone, Genèse du djihad français, Editions Gallimard (2015) par Gilles Kepel

 

BERNARD VALERO DIRECTEUR GENERAL DE LA VILLA MEDITERRANEE

ENTRETIEN AVEC BERNARD VALERO DIRECTEUR GENERAL DE LA VILLA MEDITERRANEE

ENTRETIEN AVEC BERNARD VALERO

BERNARD VALERO DIRECTEUR GENERAL DE LA VILLA MEDITERRANEE

Photo : Guillaume Liautaud

En marge de la conférence sur les perspectives de la Coopération Franco-Algérienne tenue par Jean Louis Levet Haut Représentant de la Coopération industrielle et technologique Franco-Algérienne à la Villa Méditerranée à Marseille, M. Bernard Valéro Ancien Ambassadeur, Directeur Général de la Villa Méditerranée a bien voulu répondre à nos questions.

Jacky NAIDJA: Quelles sont vos premières impressions à l’issue de cette conférence que Jean Louis Levet vient de conclure brillamment?

Bernard Valéro: C’est une conférence importante et Jean Louis Levet a mis l’accent sur la relation France Algérie pour mieux faire comprendre tous les enjeux majeurs de la coopération entre les deux pays. Il a délivré ainsi plusieurs messages d’abord sur l’organisation et l’architecture générale de la coopération dans ce domaine entre la France et l’Algérie. Un deuxième message   adressé aux uns et aux autres sur l’engagement à poursuivre, voire à renforcer davantage pour mieux approfondir cette dynamique de partenariat, de travail ensemble qui repose sur une confiance mutuelle, sur des objectifs partagés et des ambitions communes. Enfin un dernier message essentiellement sur la capacité à mettre en œuvre de part et d’autre des projets potentiels industriels et technologiques en vue d’un bon rapprochement des structures mais aussi des acteurs au profit des deux pays.

Avitem, Villa MéditerranéeJACKY NAIDJA: Vous comptez vous rendre en mission à Alger prochainement. Pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

Bernard Valéro: En effet c’est une réunion importante qui est prévue les 22 et 23 mars autour d’un projet de création d’écoles professionnelles du management économique dans le domaine de la science économique, science industrielle ,de la logistique et de la mobilité au niveau industriel en partenariat avec AVITEM et d’autres écoles en France comme celle des Mines à Paris ou l’aérospatiale de Toulouse.

 

JACKY NAIDJA: Nous sommes dans ce haut lieu symbolique de la Méditerranée, cette villa qui abrite depuis sa création bon nombre de rencontres humaines d’abord, culturelles et scientifiques et professionnelles autour d’événements importants avec un public nombreux de plus en plus fidèle. Quel est d’après vous l’avenir de cette grande maison?

Bernard Valéro: Il y a en effet un débat sur cette question qui pose le devenir de la Villa. Bien entendu ce débat concerne tout le monde. C’est la démocratie. Moi même, en arrivant à la tête de cette maison, en acceptant la vie et la réalité de cette institution pour en faire un haut lieu de rencontres, de dialogues , j’ai pris toutes mes responsabilités . D’autres doivent aussi prendre leurs responsabilités dans ce débat qui concerne Marseille, tous les marseillais et bien au delà. Grâce à la Villa, à son originalité toute particulière qui, il faut le répéter n’est une salle de spectacles, n’est pas un musée, ni même une maison communale de la culture. Mais elle est un lieu avec tout cela à la fois et en même temps c’est ce qui fait toute la grande richesse de la Villa Méditerranée. En tous cas elle reste portes et fenêtres ouvertes pour porter tous les projets dynamiques en direction des marseillais en partenariat avec AVITEM pour accueillir et mobiliser les réseaux euro-méditerranéens, accompagner leurs projets, favoriser des événements enfin proposer des rendez-vous comme ceux des mardis de la Villa avec toute une programmation d’expositions tout au long de l’année. Je suis et reste optimiste sur le devenir de la Villa Méditerranée et l’avenir seul nous dira ce qu’elle pourra devenir.

JACKY NAIDJA

Jean Louis Levet, conférence sur "les perspectives de la Coopération Franco-Algérienne", Villa Méditerranée

ENTRETIEN AVEC JEAN LOUIS LEVET A L’ISSUE DE SA CONFERENCE A LA VILLA MEDITERRANE MARSEILLE

Jean Louis Levet Haut Responsable à la Coopération industrielle et technologique Franco-Algérienne

a bien voulu, à l’issue de sa conférence sur « les perspectives de la Coopération Franco-Algérienne » répondre à nos questions.

Jean Louis Levet, conférence sur "les perspectives de la Coopération Franco-Algérienne"

Jean Louis Levet avec Jacky Naidja, Photo : Guillaume Liautaud

JACKY NAIDJA: Vous venez de conclure sur une brillante note votre conférence attendue par le public de la Villa Méditerranée. Il y a en effet 2 sujets qui me paraissent indispensables dans ces perspectives et qui n’ont pas été abordés: c’est d’abord les ressources en eau et tout ce qu’elles peuvent apporter en matière de création de petites et moyennes entreprises y compris dans la sous-traitance et le secteur des textiles en Algérie. Quel est votre avis sur ce dernier sujet qui croit-on savoir est un peu délaissé, désorganisé, avec ce chevauchement public/privé qui se confronte au moment même où Abdesselam Bouchouareb Ministre de l’Industrie appelle de ses vœux un partenariat français pour l’aider à prospérer?

Jean Louis Levet, conférence sur "les perspectives de la Coopération Franco-Algérienne", Avitem

Photo : Guillaume Liautaud

JL LEVET: Le secteur des textiles fait partie des activités dites traditionnelle avec le cuir ,le traitement du bois, la confection, l’habillement, les chaussures qui sont importantes car elles sont pourvoyeuses d’emploi qui nécessitent de plus en plus de compétences qualificatives. lorsque je rencontre certains entrepreneurs algériens dans l’Est du pays ou à Blida par exemple, il est vrai qu’un certain nombre d’entre eux souhaitent investir dans ce domaine. Le problème est celui de la formation et donc pas spécifiquement celui du textile directement mais aussi celui de la place des jeunes dans ces métiers traditionnels qui est très importante car elle touche à la vie quotidienne et à la production locale où il faut faire revenir des jeunes dans l’industrie pour créer de la production locale et réduire l’importation.

JACKY NAIDJA: Est ce que vous pensez que la France peut être partie prenante et apporter de la compétence dans ce secteur?

JL LEVET: Je ne suis pas un spécialiste dans ce domaine mais je constate qu’il y a 2 volets dans ce secteur. La France n’est pas forcément compétitive dans ce secteur particulièrement mais sa compétence dans la démarche qualité dans la mode, l’habillement, le traitement du tissu et la confection qui sont de haut niveau peuvent être des atouts auprès des interlocuteurs algériens. C’est une activité en devenir car il peut y avoir des partenariats tout à fait faisables… Il faudra pour cela de la volonté de part et d’autre.

JACKY NAIDJA: Bernard Valéro a évoqué en début de conférence la place de la Villa Méditerranée à Marseille et le rôle qu’il souhaite lui donner. Qu’en pense-vous?

JL LEVET: Il a parfaitement raison de proposer la Villa à des rencontres économiques internationales ici à Marseille .Elle pourrait être l’interface du monde entreprenarial. En ce qui me concerne sa proposition me parait louable et je ne manquerai pas d’en parler à un autre niveau.

JACKY NAIDJA: En conclusion, j’aimerai que vous me parliez de votre dernière publication « Produire mieux pour vivre mieux » (2015) qui de mon point de vue personnel est un véritable lien de causalité avec tous les contours de la coopération et des partenariats en place.

JL LEVET: Oui ça peut être un axe de travail pour les actions de France Algérie. C’est une publication à laquelle j’ai associé plusieurs économistes pour leurs questions comme :Pourquoi industrialiser un pays par exemple, ou pourquoi développer des actions économiques au service des besoins sociétaux sur un territoire donné? C’est une nouvelle boussole pour l’action. Car au bout du compte c’est la prospérité d’un pays pour vivre mieux qui compte car l’industrie au sens large n’est pas une fin en soi.

Entretien réalisé par Jacky NAIDJA

Jean Louis Levet, conférence sur "les perspectives de la Coopération Franco-Algérienne", Villa Méditerranée

Photo : Guillaume Liautaud

JEAN CLAUDE GAUDIN ELU HAUT LA MAIN PRESIDENT DE LA METROPOLE

JEAN CLAUDE GAUDIN ELU HAUT LA MAIN PRESIDENT DE LA METROPOLE

JEAN CLAUDE GAUDIN ELU HAUT LA MAIN PRESIDENT DE LA METROPOLE* AVEC MARTINE VASSAL 1ER VICE-PRESIDENT

« la politique est partout et la politique n’est pas tout ».

(Jean Claude Gaudin)

JEAN CLAUDE GAUDIN, PRESIDENT DE LA METROPOLE MARTINE VASSAL 1ER VICE-PRESIDENT DE LA METROPOLE

Le Palais du Pharo siège de la métropole a accueilli ce matin les élections du nouveau président de la Métropole, des 20 vice-présidents dont Martine Vassal en tant que 1er Vice-président. Un nouveau bureau de 8 membres titulaires et 8 suppléants ainsi que la commission des marchés ont été mis en place.

Jean Claude Gaudin a été élu par ses pairs à nouveau Président de la Métropole avec 152 voix sur 239 votants face à 3 candidats : Gaby Charroux maire communiste de Martigues, Florence Mas élue PS et Stéphane Ravier Sénateur FN. Parti favori de l’élection, le Sénateur Maire de Marseille qui a toujours appelé à un grand rassemblement autour de ce territoire de 92 communes avec 1,83 millions d’habitants et grand de 3173 km2, a longuement insisté après son élection sur ce qui doit être la nouvelle politique de la Métropole.

Cette élection vient mettre un terme définitif à une période houleuse face à un véritable imbroglio politico juridique menée par des maires contestataires dont Maryse Joissains Masini, Maire d’Aix en Provence qui n’a d’ailleurs pas souhaité prendre une quelconque fonction.. dans la nouvelle gouvernance de la Métropole.

Jean Claude Gaudin Sénateur a annoncé en outre qu’il mettrait fin à son mandat au Sénat dès le 1er septembre 2017.

JACKY NAIDJA

*La métropole Aix Marseille Provence a été créée le 1er janvier 2016 par la loi dite MAPTAM (modernisation de l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles) Elle rassemble en son sein 1,8 millions d’habitants répartis dans 92 communes avec 6 intercommunalités aujourd’hui transformés en conseils de territoire.

mardis de la villa

LA COOPERATION ECONOMIQUE FRANCO-ALGERIENNE EN DEBAT

LA COOPERATION ECONOMIQUE FRANCO-ALGERIENNE EN DEBAT A LA VILLA MEDITERRANEE EN PRESENCE DE JEAN LOUIS LEVET HAUT RESPONSABLE A LA COOPERATION INDUSTRIELLE ET TECHNOLOGIQUE

LA COOPERATION ECONOMIQUE FRANCO-ALGERIENNE EN DEBAT A LA VILLA MEDITERRANEE

Bernard Valéro en présence de Jean Louis Levet (Photo Guillaume Liautaud)

JEAN LOUIS LEVET, Haut responsable de la Coopération Industrielle et technologique Franco-Algérienne nommé par le gouvernement depuis juin 2013 à la tête de cette mission, est venu honorer de sa présence cette conférence pour expliquer toutes les arcanes de cette relation sur le partenariat d’excellence entre l’Algérie et la France.

mardis de la villa

(Photo Guillaume Liautaud)

Dans le cadre des mardis de la Villa Méditerranée, lancés en septembre 2015, cette conférence présentée par Bernard Valéro, ancien Ambassadeur et Directeur général de la Villa Méditerranée a porté essentiellement sur les perspectives de la coopération entre les deux pays. Jean Louis Levet a tenu à expliquer largement le processus de la coopération qui s’est installé depuis, dans un cadre de confiance mutuelle en levant le voile avec une grande clarté sur toutes les questions plus ou moins contraignantes comme le fonctionnement en général de l’administration algérienne grâce à des exemples de réussite sur le terrain par les entreprises algériennes et françaises dans plusieurs secteurs économiques, liées dans le cadre du 49/51 qui reste pour lui un élément positif et fiable pour un partenariat très prometteur. C’est un retour d’expériences qui a été mis en exergue par Jean Louis Levet autour de toute la stratégie de développement des entreprises ici et là bas en vue d’une économie de marché et d’un partenariat gagnant-gagnant.

« France Algérie dans ce cadre économique est un duo structurant pour l’avenir de la Méditerranée, l’Afrique et l’Europe » devait-il souligner. Rappelant par ailleurs que dans la mondialisation, on ne gagne pas seul et que le défi à affronter est moins difficile à deux que seul. Un défi économique où il est question de passer d’un mode commercial à un mode coopératif dans une logique entrepreneuriale. A force d’exemples de projets d’exemplarité existants autour de protocoles d’accords significatifs dans plusieurs secteurs économiques, Jean Louis Levet sans vouloir dresser un bilan exhaustif de la situation actuelle de la coopération entre les deux pays a surtout désigné du doigt les perspectives d’avenir de cette importante relation. Humaine d’abord, de confiance, d’échanges et prometteuse d’un avenir économique certain avec une montée en qualité de l’information au bénéfice d’un développement des infrastructures d’appui aux entreprises et PME algériennes tenant compte des besoins de l’Algérie et de leur savoir faire.

L’heure d’un grand bilan n’a pas encore sonné , même si beaucoup reste à faire pour encore mieux persister dans l’amélioration du climat des affaires, plus dans un souci de complémentarité et une volonté de surmonter tous les obstacles pour la réussite de cette coopération grâce à des rencontres multiples et nécessaires entre algériens et français dans une réelle priorité stratégique définie par les deux pays.

JACKY NAIDJA

D’autres photos sur le Facebook de l’auteur

Guy Bedos à Alger

GUY BEDOS A ALGER

GUY BEDOS A ALGER AVEC SON LIVRE:

GUY BEDOS A ALGER AVEC SON LIVRE "je me souviendrai de tout"

Guy Bedos est attendu à Alger le 17 mars à l’Institut Français d’Alger pour présenter au grand public algérien son dernier ouvrage « je me souviendrai de tout » (Ed. Fayard).

Un livre journal dans lequel Guy Bedos se livre en repensant à tous les moments forts de sa vie qui ont fait sa carrière et tout ce qu’il est devenu aujourd’hui. Evoquant ses passions et ses souvenirs avec des gens qu’il a eu la chance de rencontrer à ses débuts comme personnalités du spectacle: Simone Signoret, Coluche, Pierre Desproges, jacques Prévert entre autres pour ne citer que ceux-là, l’humoriste et l’artiste engagé passe au crible dans ce livre toute l’actualité vécue , avec un peu de nostalgie, émotion et tendresse à la fois. N’épargnant personne au passage, se moquant des autres comme il sait le faire dans ses sketchs mais surtout de lui même.

Guy Bedos va retrouver Alger où il est né et qu’il a quitté à 15 ans pour Paris pour entamer une carrière théâtrale d’abord, puis au cinéma dès 20 ans pour ses débuts avec Marc Allégret

enchaînant tour à tour des spectacles humoristiques qui l’ont fait connaitre au grand public français et à l’Etranger.. avec d’autres humoristes comme Smain, Michel Boudjenah, Muriel Robin , Djamel Debouz…

Une publication brûlante d’engagement sous une plume fine qui nous renvoie dans son passé complexe et exaltant d’où émergent des motifs d’espérance.

JACKY NAIDJA

Article Egalement présent sur l’OBS

Symposium de Monaco

Prémices d’une «maturité écologique» chez les médias du Sud

Symposium de Monaco / Méditerranée / Environnement

Qu’est-ce que le journalisme écologique ? A quoi servent les médias dans les questions environnementales et servent-ils réellement la cause écologique ? A ces questions, de nombreuses réponses ont été données lors de la dernière journée des travaux du dernier symposium de Monaco sur les médias et l’environnement.

Symposium de Monaco

Ces réponses sont dans l’ensemble similaires aux professionnels de la presse et des médias quelle que soit leur situation géographique. Elles traduisent une difficulté à faire passer l’information et surtout le message écologique qui sert à alerter sur les dangers qui pèsent sur le milieu naturel si personne n’y prend garde.

Ce sont aussi des réponses qui diffèrent aussi que l’on soit journaliste écologique dans les pays occidentaux, ceux du Nord, ou dans les pays du Sud. Chez les premiers, l’existence de groupes associatifs et politiques militant de façon organisée et dans les Parlements pour les questions de l’environnement leur permet d’être plus visible et de diffuser une information audible et faisant partie des débats récurrents dans leurs sociétés. Chez les seconds, le métier de journaliste spécialiste de l’environnement et de ses enjeux se fait presque dans la solitude. Il est accompli dans un contexte marqué par l’absence d’associations réellement organisées et capables de rendre crédibles leurs actions auprès des responsables politiques préoccupés par l’impératif industriel et économique dans des pays et des sociétés en quête d’un niveau de richesse et de vie synonyme par exemple de confort, de recours à l’automobile, etc. Parmi les journalistes des pays du Sud qui sont intervenus, M’hamed Rebah, qui écrit dans les colonnes de Reporters, a dressé de la situation des médias écologiques en Algérie un tableau contrasté. Il n’existe pas une presse
écologique spécialisée et suffisamment forte comme en Europe ou ailleurs dans les pays occidentaux. Il existe des journalistes spécialises – peu nombreux d’ailleurs – qui essayent de porter et défendre le discours à valeur écologique. Avec un impact presque nul, a-t-il précisé, en citant des cas de forte mobilisation qui n’ont pas servi à stopper des projets à polémique et considérés comme un risque écologique. Il en est ainsi de l’auto route Est-Ouest et de la levée de boucliers qu’elle a provoquée en ce qui concerne son passage à proximité de la zone protégée d’El Kala. Le mouvement contre le projet a été relayé par les médias nationaux, mais le projet a fini par «passer» au nom de l’utilité économique et de l’intérêt général, a indiqué M. Rebah. L’expérience algérienne ne fait pas l’exception, a ajouté le conférencier qui a parlé d’unecouverture médiatique qui ne sort pas du «ronron habituel», faisant allusion à des articles de presse dont les auteurs se concentrent sur les pollutions atmosphérique, maritime, exposition de certaines espèces à la disparition… Il n’empêche qu’au fil des années, une «maturité écologique» s’est installée et commence à faire manifester une opinion sensible à l’impact environnemental sans que cette opinion n’ait une proximité réelle avec les associations spécialisées. Il en est ainsi du mouvement anti schiste qui s’est déclaré dans la région d’In Salah dans le Grand Sud algérien. De son côté, Suzanne Baaklini, journaliste libanaise à l’Orient-Le-Jour, a regretté que la question environnementale ne requiert pas l’importance qu’elle doit avoir et qu’elle reste dans les pays arabes comme le Liban malheureusement «éclipsée» par l’actualité politique et économique. La conférencière souligne toutefois que le paysage médiatique dans son pays commence à s’intéresser à titre d’exemple à «des dossiers écologiques avec sérieux et inquiétude». Il faut dire que Le Liban est un pays confronté depuis de longs mois à de sérieux problèmes de gestion des rejets domestiques. Des problèmes qui ont tourné à la crise politique. Depuis la fermeture de la décharge de Naamé proche de la capitale Beyrouth, le 17 juillet 2015, le pays fait face à une crise sans précédent des ordures ménagères. Au pays du cèdre, on appelle ça la «crise des ordures». Alors que cette partie du Liban croule sous les déchets, le gouvernement a récemment opté pour leur l’exportation pour une période de 18 mois, notamment vers la Russie, avant que le plan ne tombe à l’eau. L’État semble privilégier à nouveau la solution des décharges sanitaires à travers le pays, un choix qui avait été rejeté par les populations locales concernées. Et ce n’est pas fini.

Source : reporters-dz.com

Prix du meilleur espoir féminin: Zita Hanro

LE FILM FATIMA PRIME A LA 41e NUIT DES CESARS

41e NUIT DES CESARS AU THEATRE DU CHATELET

LE FILM FATIMA PRIME PAR 2 CESARS

Prix du meilleur film : Philippe Faucon pour Fatima

Prix du meilleur espoir féminin : Zita Hanro

UN PETIT MIRACLE DE CINEMA….

La 41è nuit des Césars qui, reste un grand rendez-vous du cinéma français a délivré son palmarès hier au cours d’une cérémonie somptueuse animée par l’humoriste Florence Foresti.

C’est surtout le regard naturel et obstiné que Philippe Faucon réalisateur du film a osé posé dans son film qui interpelle sur cette situation sociale de Fatima . Femme de ménage, émigrée en France qui peine à élever seule ses deux filles avec en plus une faible maitrise du français, Fatima vit cette situation comme une véritable frustration dans ses rapports quotidiens avec ses filles et son entourage dans son travail. Inspiré du journal de chambre de Fatima El Ayoubi et interprété par Sonia Soral, ce film a montré au public toute sa subtilité et sa discrétion tant sa force émotionnelle a été remarquable au plus haut point grâce au travail laborieux et combien judicieux de son réalisateur sur le rôle de ses actrices.

Fatima vient d’être récompensé par 2 Césars:

Prix du meilleur espoir féminin: Zita Hanro,

Prix du meilleur film: Philippe Faucon pour Fatima.

JACKY NAIDJA

P/REPORTERS.DZ

 

La politique doute

La politique doute

L’HEURE EST AU DOUTE A DROITE COMME A GAUCHE

La politique doute

Le doute s’est installé chez les socialistes autour de F. Hollande et sur sa capacité à gagner l’élection présidentielle. Tout au moins savoir d’abord s’il sera candidat aux primaires prévues par les statuts du Parti Socialiste que les militants ne cessent de brandir à chaque occasion. Bien que les sondages ne lui soient guère favorables (22% en Février), les courbes du chômage ne l’aidant pas non plus comme il aurait souhaité à entrer officiellement en campagne. Du côté du PS , on se prépare en douce à toutes les éventualités. Et Jean Christophe Cambadélis de déclarer: « On ne sait pas si F. Hollande ira jusqu’au bout, il nous faut désormais se préparer » même si l’on tient particulièrement à deux conditions prioritaires du président sur lesquelles il s’est engagé: le volet sécuritaire et la courbe de chômage .D’un autre côté, à la tête de l’exécutif, une tension est nettement visible entre les Président et son 1er Ministre Manuel Valls qui continue inlassablement et difficilement à rassembler son camp autour de la réforme de la loi El Khomri sur le travail. Et de là à imaginer la thèse du départ possible de Manuel Valls du gouvernement est nettement posée même s’il confirme par ailleurs « qu’il n’a pas de plan ni d’horizon électoral ». Trop de différents séparent aujourd’hui le chef de l’Etat et son 1er Ministre pour n’en citer que le plus important : le remaniement ministériel sur lequel ce dernier était opposé. Mais au delà, le sujet sur la déchéance de la nationalité dont plusieurs proches de F. Hollande ne l’ont pas voté, l’entrée des écologistes qu’il n’a pas accepté ni même la présence de Jean Marc Ayrault au gouvernement ou encore le limogeage de son amie Fleur Pellerin ministre de la culture.

A droite, Alain Juppé favori des sondages est en nette progression devant une liste de 8 candidats en l’occurrence: François Fillon, Hervé Mariton, Nadine Morano, Frédéric lefevre, Jean François Poisson, Nathalie Kosiscko Morizet, Jean François Copé et Bruno Lemaire, concurrents à la primaire de novembre prochain.

Cela en attendant l’annonce de candidature de Nicolas Sarkozy malgré tous ses démêlés avec la justice et sa dernière mise en examen dans l.’affaire Bygmalion.

A 14 mois des élections présidentielles, la classe politique est divisée et l’électorat plutôt inquiet, agité, ne souhaite pas le retour des candidatures de F.Hollande et de N.Sarkozy mais un renouvellement de la politique et des politiques selon les derniers sondages.

JACKY NAIDJA

P/ REPORTERS.DZ