LE FILM PAPICHA (ALGERIE) EN COMPETITON POUR LA MEILLEURE COPRODUCTON INTERNAT INTERNATIONALE
L’académie des Lumières qui depuis 25 ans préside et organise toujours avec talent et ferveur « les Prix de la Presse Internationale » au cours d’une somptueuse soirée de palmarès, s’offre cette année la scène de l’OLYMPIA pour une cérémonie exceptionnelle le 27 janvier 2020.
Pour une remise des prix aux meilleurs films, à leurs auteurs et acteurs après le vote d’ un jury de 130 journalistes de la Presse Internationale, correspondants à Paris.
Une 1ère cette année à l’Olympia avec diffusion de la cérémonie sur Canal+ pour ce rendez-vous très prisé de nombreux cinéphiles mais aussi pour l’académie des lumières organisatrice de l’événement dans l’enceinte de cette salle prestigieuse qui a vu défiler de multiples vedettes et étoiles du cinéma comme de la chanson grâce à un excellent et productif partenariat. Lequel vient en effet favoriser une véritable passerelle vers un cinéma populaire, chaleureux, humain et onirique, capable de temps forts de convivialité comme toutes les années précédentes.
Déjà le 3 décembre dernier, l’académie des Lumières a eu à dévoiler à la presse étrangère dans ce lieu mythique de l’Olympia, la liste des nominés à cette 25è cérémonie qui s’annonce déjà fastueuse par son mélange des genres et des styles, tant l’organisation est méticuleuse, soignée par les nombreux responsables, qui veulent à tout prix marquer d’une pierre blanche ce quart de siècle de leur organisation par des prix tout aussi prestigieux. Lesquels et grâce à eux, ont étendu le rayonnement culturel du cinéma français à travers le monde. Et tout ce prestige revient aussi à plusieurs partenaires de renoms qui font la réussite du cinéma qu’on connait aujourd’hui, comme Uni France, Canal+, le CNC, TV5 pour ne citer que ces premiers de réputation. Sans oublier tous les autres partenaires professionnels qui activent dans la technique de l’image, du son, pour honorer la présentation de la cérémonie, confiée cette année à Isabelle Giordano ancienne directrice générale d’Uni France, qui porte en elle l’histoire du cinéma français à l’image d’illustres invités, acteurs, producteurs, réalisateurs et professionnels du cinéma national et international.
Ce 25è événement sera sans nul doute l’occasion aussi de rendre hommage aux pères fondateurs des prix Lumières crées en 1996, Daniel Toscan Du Plantier bien connu pour ses multiples responsabilités dans le cinéma français et Edward Behr, journaliste américain, réalisateur de films et écrivain, qui ont permis au dynamisme de l’académie des Lumières avec à sa tête Lisa Nesselson, entourée de Pamela Bienzobas, José Maria Riba, Min Liu, Jacques Kermabon, Isabelle Buron, Pauline Guilmot et Anne Guimet comme Déléguée générale, de perpétuer ce succès. Et porter cette ambition de mettre en lumière la création pour faire vivre le cinéma français à travers le monde.
Par delà la logistique et l’organisation, il y a les 120 films proposés et sortis en salle en 2019, mis en concours et à disposition des journalistes grâce à une vidéothèque en partenariat avec Cinando/ le marché du film de Cannes. D’où sont sortis d’ailleurs plusieurs films en compétition soumis au vote final qui font la réputation du cinéma, à l’exemple « des Misérables » de Ladj Ly, J’accuse de Roman Polanski ou « Roubaix une lumière » de Roschdy Zem et particulièrement « Papicha » de Mounia Meddour dont le succès a dépassé toutes les frontières. Et il y a aussi les Trophées, autour de cette « célèbre flamme », crées par Joaquin Jiménez et la Monnaie de Paris toujours fidèles partenaires des prix Lumières, qui restent la meilleure et sublime récompense que recevront les lauréats au cours de la cérémonie. Pour rappel, La 24è cérémonie des Lumières a eu lieu à l’Institut du Monde Arabe à Paris et a décerné le Prix du meilleur film au « Frères Sisters » de Jacques Audiard qui a obtenu 2 autres prix pour la mise en scène et l’image.
JACKY NAIDJA AVEC INES ILIANA
En compétition dans cette 25è cérémonie :
Meilleur Film :
Grâce à Dieu de François Ozon
J’accuse de Roman Polanski
Les Misérables de Ladj Ly
Portrait d’une jeune fille en feu de Céline Sciamma
Roubaix une lumière d’Arnaud Desplechin
Meilleure Réalisation
J’ai perdu mon corps de Jérémy Clapin
Roubaix une Lumière d’Arnaud Desplechin
Les Misérables de Ladj Ly
J’accuse de Raman Polanski
Portrait de la jeune fille en feu de Céline Sciamma
Meilleur acteur
Swann Artaud dans Grâce à Dieu
Daniel Auteuil dans la Belle époque
Jean Dujardin dont j’accuse
Fabrice Luccini dans Alice et le Maire
Roschdy Zem dans Roubaix une lumière
Meilleur Scénario
Alice et le Maire de Nicolas Parisin
La belle Epoque de Nicolas Bedos
Grâce à Dieu de François Ozon
J »accuse de Roman Polanski
Les Misérables de Ladj Ly
Meilleur Documentaire
68 Mon père et les clous de Samuel Bigiaoui
Etre vivant et le savoir d’Alain Cavalier
Lourdes de Thierry Demazière et Alban Teurlal
M de Yolande Zauberman
Ne croyez surtout pas que je hurle de Franck Beauviers
Meilleur 1er Film
Atlantique de Mati Diop
Les Misérables de Ladj Ly
Nevada de Laure Clermont Tonnerre
Perdrix de Erwan le Duc
Une intime conviction de Antoine Rambault
Meilleure coproduction internationale
Bacuru (Brésil) de kleber Mendoça Filho
It Must be Heaven (Palestine) de Elia Suleiman
Le Jeune Ahmed (Belgique) de Laurent Miche
Lola vers la mer (Belgique) de Laurent Michel
Papicha (Algérie) de Mounia Meddour
Meilleure révélation féminine
Céleste Brianqueli dans les Eblouis
Mina Farid dans une Jeune fille facile
Nina Meurisse dans les Particules
Lise Leplat Prudhomme dans Jeanne
Mana Sané dans Atlantique
Meilleure Révélation Masculine
Thomas Daloz dans les Particules
Alexis Manenti dans les Misérables
Tom Mercier dans Synonymes
Issa Perrica dans les Misérables
Thimotié Robert dans Vif Argent
Meilleure Image
Grâce à Dieu Manal Dacosse
J’accuse Fatima Radini
Grâce à Dieu -Eugénie Galperinne
J’ai perdu mon corps – Dan Levy
Jeanne – Christophe
Meilleure Animation
La fameuse évasion des Ours en Sicile de Lorenzo Mattoti
Funan de Denis Do
Les Hirondelles de Kaboul de Zabou Breitman
J’ai perdu mon corps de Jeremy Capon
Wardi de Mats Grozud